15 avril 2014

EMBRYONS SURNUMÉRAIRES


COUPLES INFERTILES, SOYONS RESPONSABLES JUSQU'AU BOUT!




Je vous invite d'abords à regarder le reportage sur le phénomène des Embryons surnuméraires diffusé à l'émission Découverte de Radio-Canada le 6 avril dernier.

Moi et ma conjointe sommes présentement en réflexion sur l'avenir de nos deux embryons congelés. De notre côté, l'âge est la raison principale de ce dilemme. Mais peut importe notre décision, nous réalisons notre responsabilité envers ces embryons.

Grace au don d'ovules et aux techniques de procréation d'aujourd'hui, nous avons la chance et l'immense bonheur d'avoir un petit garçon de 16 mois en parfaite santé.

J'encourage donc tous les couples qui ont eu la même chance, a ne jamais abandonner leurs embryons congelés sans prendre de décision! Au besoin, prenez le temps de consulter le psychologue de votre clinique, en particulier si vous devez passer par un deuil!






31 mars 2014

TROIS EMBRYONS: 1 NAISSANCE + 2 CONGELÉS = DILEMME

QU'EN PENSEZ-VOUS?

Le mois de mars a toujours été pour nous fertile (jeux de mots facile!) en événements importants. Mars 2014 poursuit cette tendance.
Nous avons reçu une lettre de notre clinique au sujet de nos embryons congelés. Nous devons décider de leur avenir!!!

Le premier des trois embryons obtenus par don d'ovules nous a permis d'avoir notre petit Mathis, âgé aujourd'hui de 16 mois. Un bébé en parfaite santé et dont le développement se passe très bien.

Depuis sa naissance, nous n'avions que très peu discuté à propos des deux embryons congelés. Nous avions conscience qu’un jour ou l'autre nous aurions à se poser la question. Mais après 16 longues années d'attente, notre focus était bien sûr porté sur notre petit bonhomme. Nous sommes depuis, en état de gratitude. Nous savourerons chacun de ses sourires, ses mots et ses prouesses. Chaque jour nous rappel la chance et le privilège de sa présence dans notre vie.

Cependant il faut se l’avouer, l’arrivée d’un bébé demande généralement une période d’adaptation. Possiblement aussi, un peu par pudeur et parce que trop récent, qu’on se refusait de penser à un autre enfant que celui que nous venions à peine avoir, du moins à court terme.

Mais pourquoi maintenant toute cette tourmente et surtout, pourquoi tant d’hésitation pour avoir un autre enfant si le premier avait été tant désiré? En gros, à cause de notre âge!

Moi je viens tout juste d’avoir 46 ans et ma douce moitié, 50 ans en janvier dernier!  Pas banal n’est-ce pas?  Vous comprenez maintenant que notre dilemme n’est pas de savoir si nous voulons d’autres enfants. Dix ans en moins et la question ne se poserait plus!

A notre âge, il faut prendre du recul et bien évaluer la situation. Plusieurs facteurs doivent être prit en considération. Notre santé à court et moyen terme. Les risques de complications durant et après la grossesse. L’avenir des enfants. La retraite qui se rapproche. Aurons-nous l’énergie et la patience nécessaire. Le temps pour prendre soin de nous. Les finances… Bien des choses à considérer!

Pour le couple, c’est un défi de taille. Il faut conjuguer avec l’émotivité et l’aspect rationnel d’une telle décision et réussir à se rejoindre malgré tout dans notre choix.

Selon cette lettre, plusieurs options s'offrent à nous:

1. Don à la science
2. Destruction des échantillons (ce n’est pas une option pour nous!)
3. Don anonyme
4. Les conserver pour une autre année
5. Et bien sur, tenter notre chance pour avoir un autre enfant.

Afin de nous donner un peu plus de temps, nous avons fait un premier pas en renouvelant pour un an, la conservation des embryons. Nous avons aussi rendez-vous avec le médecin spécialiste pour nous éclairer sur l’aspect médical.

Malgré tout, la question reste entière. C’est pourquoi nous aimerions connaitre votre point de vue sur cette question. Avez-vous eu à prendre cette décision déjà?  Avez-vous un enfant par don d’ovules? Vous reste-il des embryons congelés? Que feriez-vous à notre place et pourquoi?

Je vous remercie d’avance de prendre le temps pour partager votre point de vue et votre vécu. J’ignore si ça nous aidera dans notre décision, mais nous nous sentirons moins seul!

Vous pouvez nous écrire sur ce blog de façon anonyme ou sur Facebook au lien suivant: https://www.facebook.com/donovulequebec/posts/520410578068407




10 mars 2014

Hier marquait le deuxième anniverssaire du transfert de l'embryon qui nous a permis d'avoir notre petit Mathis. Une date gravée à tout jamais dans notre mémoire. Merci à nore donneuse!

12 septembre 2013

Notre donneuse (2ième partie)

«Je me suis sentie comme une fée» —
Valérie Schmaltz
Publié le 22 janvier 2013

Donner ses ovules n’est pas une mince affaire. Parlez-en à Anne, une jeune femme de 27 ans qui en a fait l’expérience deux fois.

«Le premier protocole s’est terminé par une hyperstimulation de 31 ovules. J’ai eu des ballonnements. C’était douloureux, se rappelle cette jeune mère de deux enfants. Heureusement, la seconde fois, ça s’est mieux déroulé.»

L’expérience, qui s’est soldée par la naissance d’une petite fille, a été reconduite pour un autre couple, un an plus tard.

«Sitôt les procédures terminées avec le premier couple, j’ai perdu contact avec lui. Avec Mégane et Matisse (NDLR: voir le dossier Un bébé à tout prix paru dans le Nord Info du 24 mars 2012), c’est différent. J’ai vu les photos de leur fils, d’affirmer Anne en souriant. Nous sommes toujours en contact.»

Anne est catégorique. Elle n’a rien ressenti en le voyant (le bébé). Elle est simplement heureuse que cela ait fonctionné.

Avec la complicité comme élément fort de ces rencontres entre Anne et les deux couples, la transparence a aussi été de mise pour les parents envers leurs enfants.

«Le premier couple a décidé de parler très tôt à son enfant du processus de sa naissance afin d’éviter une crise d’identité vers l’âge de 7 ou 8 ans, explique Anne. De mon côté, j’ai mis mes enfants au courant de ce que je faisais.»

Ne ressentant aucun lien maternel avec l’enfant de Mégane et de Matisse, Anne se souvient d’avoir pleuré, de concert avec Mégane, quand elle a appris que le protocole avait fonctionné. «J’étais tellement heureuse pour eux», dit-elle.

Sachant que sa ménopause sera devancée en raison des dons d’ovules qu’elle a faits, Anne n’est pas fermée à l’idée d’avoir d’autres enfants dans sa vie. «Mais, je ne compte plus faire de dons d’ovules toutefois», assure-t-elle.

Que retient-elle de toute cette expérience? «Je me suis sentie comme une fée qui envoie de la poudre magique et donne un enfant», dit-elle.

9 septembre 2013

Notre donneuse...

Notre petit Mathis aura bientôt un an déjà! Malgré ma bonne volonté, je n'ai pas été en mesure de vous écrire depuis sa naissance. Mais je vous assure que le blog est toujours dans mes pensées. Ce soir, je souhaite vous partager la première partie du récit de notre merveilleuse donneuse. Celui-ci fait suite à la série d'articles parus dans l'hebdo L’Éveil du Nord-Info que vous pouvez consulter dans la section Articles sur notre histoire.


Offrir son ovule par compassion: un don de soi vraiment pas comme les autres
Valérie Schmaltz  
Publié le 22 janvier 2013

Elle se nomme Anne (nom fictif), elle a 27 ans, et elle est mère de deux enfants âgés de 8 et de 5 ans et demi. Cette célibataire, en apparence identique à bien d’autres jeunes de son âge, s’est prêtée, au cours des deux dernières années, à un exercice de bienfaisance que peu sont capables de relever.

Un garçon et une fille sont nés des dons d’ovules consentis par Anne.

Par deux fois, Anne a offert ses ovules à des couples infertiles. Dans le premier cas, elle n’a demandé aucune rétribution, dans le second, elle a souhaité un voyage à Walt Disney pour elle et ses deux enfants. Portrait d’un don de soi vraiment pas comme les autres.
Le visage souriant, de longs cheveux bruns étalés sur ses épaules, Anne répond patiemment aux questions qui lui sont posées. Cette décision de prendre part à un tel projet, elle le doit un peu à sa meilleure amie, alors prise dans un tourbillon de recherche pour trouver un donneur de sperme.
«J’ai pris conscience à quel point ce n’était pas facile pour elle de trouver un donneur. Étant moi-même mère de deux enfants en pleine santé, j’ai voulu redonner à mon tour ce que j’avais reçu. J’ai décidé d’offrir mes ovules», explique-t-elle avec simplicité.

Un premier pas
C’est comme ça qu’elle fait la connaissance d’un premier couple, des Montréalais vivant sur le Plateau. Le courant passe bien entre eux et, rapidement, Anne se soumet à tous les protocoles médicaux pendant plusieurs semaines. Une petite fille naîtra de ce don d’ovules.
«Non, je n’ai aucun attachement envers l’enfant, pas du tout. Je ne l’ai pas porté, cet enfant. Pour moi, l’attachement envers un enfant se fait pendant la grossesse», affirme la jeune femme.
Épaulée par son conjoint de l’époque, Anne a également bénéficié du soutien de ses proches. «La plupart des gens ont compris cette action sans vraiment la comprendre», ajoute-t-elle.
Mais ne donne pas ses ovules qui veut. En plus d’avoir à passer une kyrielle de tests physiques, il faut s’assurer, auprès d’un psychologue, que l’on est assez mûre pour faire ce don.

Matisse et Mégane
Quant au second couple, formé cette fois-ci de Matisse et de Mégane (NDLR: voir le dossier Un bébé à tout prix paru dans le Nord Info du 24 mars 2012), un premier contact se fait via le Web. «Par la suite, nous nous sommes rencontrés, et ça a cliqué tout de suite», raconte Anne.
Si elle se sent parfois traitée comme une marchandise par des couples désireux d’avoir un enfant, Matisse et Mégane sont du type plutôt respectueux. «Ils sont tellement amoureux. Ils feront de très bons parents», note la jeune femme.
Affichée sur des sites où l’on vend parfois ses ovules au plus offrant, la jeune femme a reçu près de 50 demandes de couples infertiles. Contrairement à ce qui est parfois véhiculé, c’est Anne qui choisit les parents, et non le contraire.
«J’ai reçu des demandes provenant de la France, de Bruxelles, mais c’était hors de question que je me déplace là-bas. Une demande que j’ai refusée? Celle d’un couple qui souhaitait aller vivre au Maroc sitôt la femme enceinte. J’ai refusé. Je trouvais que la vie était trop différente là-bas pour un enfant.» 

(À suivre...)


 

21 novembre 2012

LE GRAND JOUR ARRIVE


Bonjours à tous!

Comme promis il y a déjà plusieurs semaines, je vous dévoile enfin des photos de nous pour souligner la veille de la naissance de notre petit fils, Mathis.
  
Demain, le 22 novembre 2012, marquera la plus importante journée de l'histoire de notre couple! Au bout de 17 ans de vie commune, 16 ans d'espoir et plusieurs années de persévérance, Mathis viendra comblé notre cœur et ce vide immense qui hantait notre vie!

En cette journée, nous pensons à tous ces couples qui vivent l'infertilité et souhaitons leur apporter un peu d'espoir.

Merci à tout ceux qui nous suivent et qui ont cru en nous et notre projet. Merci surtout de ne pas avoir jugé




Photo prise au début octobre 2012

Revenez nous voir dans les prochains jours car j'ajouterai quelques photos de notre petit Mathis...



5 novembre 2012

Plus que 17 dodos

Oui, notre petite crevette arrive à grands pas! Hier soir la toune de Céline, hommage aux enfants qui ne grandiront jamais, nous a grandement ému!  Nous sommes derrière chaque couple et chaque femme qui ont vécu, vivent ou vivront cette grande douleur.

1 novembre 2012

24 octobre 2012

C'est peut-être la fin du monde en décembre, mais pour nous c'est le début d'une nouvelle vie!

Pas beaucoup de temps pour vous écrire, mais je tenais à vous annoncer que Mathis viendra au monde par césarienne le 22 novembre. C'est un choix avec lequel nous sommes très alaise compte tenu de la souplesse et des risques de complication diminués. Nous sommes fébriles et nerveux en même temps.

18 octobre 2012

Shower

Ce dernier weekend, c’était le shower de bébé! Une autre étape de franchie avant l’arrivée de notre petit Mathis. Pas besoin de vous dire à quel point c’était émotif.
Photo internet
Comme ce veut la coutume moderne, c’était un shower mixte. Dans la préparation de cette fête qui se voulait, autant que possible, une surprise, j’avais la responsabilité de fournir la liste d’invités. Jamais facile d’établir cette liste sans la remettre en question plusieurs fois! D’abords parce que c’est un shower. Ce que je veux dire c’est que ce n’est pas comme un baptême ou un mariage. Habituellement la liste des convives est plus courte.
Dans cette confusion, ma sœur ainée Nathalie, qui organisait le shower avec la complicité de ma belle-sœur Vicki, m’a fait la réflexion suivante : “François, dans votre cas c’est bien plus qu’un simple shower...!”
Oui, elle avait tellement raison. J’ai donc élargi quelque peu ma liste.
L’autre défi était d’organiser une série de mensonges pour, autant que possible, confondre la fêtée sur la date et l’endroit où se tiendrait le shower!

Photo internet

Et bien, quelques imprévus et changements de dernière minute sont venus changer plusieurs fois le scénario, et donc, les mensonges. Non pas facile de faire d’une pseudo-surprise, une surprise!

En bout de ligne, la surprise, malgré que partielle, a été réussie. Beaucoup d’émotion pour ma belle Manon, mais aussi beaucoup de cadeaux!

Fait marquant, j’ai fait parti du panel de chanceux qui ont participé à la dégustation, yeux bandés, de petits pots de mangé mou!  Ouais, je comprends mieux maintenant le refus de certains bébés d’avaler cette nourriture au goût étrange! Vive la bouffe “home made”!



Pourquoi « shower » ?
Le mot « shower » vient de l’anglais « to show » qui signifie montrer. Lors de la Baby Shower, la future maman est effet « montrée » pour que tout le monde admire son ventre arrondie. Le terme « shower » (douche en anglais) peut également désigner, par extension, la « douche de cadeaux » que reçoivent la maman et son bébé.


4 octobre 2012

Deuxième échographie 3D



Mardi ce fût notre deuxième échographie 3D et nous avons eu l’occasion de revoir enfin notre petit Mathis. Wow, quelle expérience encore une fois! 

Je dis petit, mais dans les faits, il a bien changé Mathis! Bien plus joufflu,  il affiche maintenant une bouille de bébé et son apparence est sensiblement celle qu’il aura à sa naissance.




Ce fût encore très émotif, surtout pour Manon. Les derniers mois ont passé très rapidement et la fébrilité nous gagne de plus en plus. 

Par contre, Mathis ne semble pas trop pressé de venir nous rejoindre car il a toujours la tête vers le haut. Il ne lui reste donc pas beaucoup de temps pour trouver la sortie. L’espace rétrécit.

Il a d’ailleurs été question de l’accouchement. À savoir si la césarienne serait préférable, peut importe la position de Mathis. Pas facile comme décision. 

Manon est au repos depuis quelques jours déjà. Mais elle doit quelque peu se battre avec la responsable des ressources humaines de son travail qui semble ne pas trop savoir comment gérer la situation, à savoir qui de la CSST, la compagnie d’assurance ou l’assurance emploi assumera le congé. 

Je déteste l’incompétence!#^&?

Pendant ce temps, mon grand fils, qui aura bientôt 18 ans, a reçu officiellement son certificat de chasseur. Bien contant le jeune homme! Pour ma part, je suis d’autant plus fier du relevé de notes du ministère de l’éducation qu’il a reçu la semaine dernière. Compte tenu du déficit d’attention avec lequel il a dû composer, ses résultats sont remarquables. Bravo fiston!

27 septembre 2012

31e semaine de grossesse

Manon (alias Mégane) est depuis deux jours, en congé préventif. Ouf il était temps. Elle pourra en fin se reposer pour le dernier droit. L'accouchement est prévu vers le 27 novembre. Incroyable comment ça passe vite! Un peu de fatigue et quelques désagréments, mais elle se porte très bien.

Notre Mathis bouge beaucoup et a maintenant la tête vers le bas.

La 29ème semaine de grossesse : 31 semaines d’aménorrhée
                                                                                                        Source: monbebe.com


Nous aurons un shooting photo la semaine prochaine. Je profiterai de ces photos pour nous dévoiler au grand jour! Alors revenez nous voir dans les prochaines jours!

Le shower appoche!



13 septembre 2012

Le prochain commentaire fait référence à l’article qu’a publié une amie bloggeuse. C’est ainsi qu’aujourd’hui, j’ai décidé de parler de la peur. La peur en rapport avec le processus de procréation assistée bien sur.


La peur et l’anxiété  font malheureusement parties de la vie quotidienne des couples infertiles qui s’engage dans un processus de procréation assistée. La FIV (fécondation in vitro) entre autre, de par sa complexité, génère son lot considérable d’inquiétude. Ajoutez l’implication d’une donneuse et vous avez le jackpot!  A chaque étape, une nouvelle peur. Et malheureusement, plus le processus s’allonge, plus les échecs se répètes, plus grandes sont les peurs.
Si les craintes et l’anxiété font généralement  parties d’une grossesse normale, imaginez lorsque vous devez vous battre des mois et des années pour avoir une toute petite chance d’enfanter! Lorsque cette chance se présente enfin, vous vous y accrocher de toute vos force.
Dans ce contexte, on peut dire que la peur (crainte, l’anxiété…)  est proportionnelle à l’intensité du désir d’enfanter, et à l’anticipation de l’échec.
Malgré tout, elle est tout à fait humaine. Lorsque tu passe des années à attendre ce petit miracle qui ne vient pas, que chaque mois et chaque essaie ce solde par un échec, et que chaque jours la pensée troublante de ne pouvoir un jour tenir dans ses bras ce petit être vivant te hante, il est bien normal de voir sa fibre positive, aussi forte soit-elle, se fragiliser et laisser ainsi place à la peur!
Mais on a peur de quoi au juste?
·       de ne jamais avoir d’enfant,
·       du processus de procréation qui ne fonctionne pas,
·       des résultats,
·       du temps qui passe,
·       des préjugés,
·       que notre conjoint nous lâche,
·       de ne pas avoir les moyens financiers,
·       des problèmes de santé,
·       de la santé du petit,
·       de notre âge,
·       de l’avenir du petit…

Et vous, cher couples infertiles, quelle sont vos peurs?

15 août 2012

Pas de nouvelle, bonne nouvelle!

Ouais, tout va super bien présentment. Manon (alias Mégane) a une belle grossesse et Mathis bouge de plus en plus. Sauf lorsque je pose ma main sur la bedeine, ça semble l'endormir. J'espère que j'aurai le même effet lorsqu'il sera en crise la nuit :)

Nous venons de compléter nos vacances. Sur le menu, amis et famille, mais aussi beaucoup de peinture et rénovation. La venue prochaine de Mathis nous force à revoir la configuration et design intérieur de la maison. Mais n'est-ce pas là motivant?

Je vous laisse sur un extrait du livre d'Alain Dumas "Le temps qui presse" que je vous conseille.


24 juillet 2012


Voici en 3D, les premières images de notre petit Mathis. Il a bien collaboré pour voir le sexe mais il semblait un peu gêné de se montrer la binette!


Cette fois Mathis s'est donné bien du mal pour cacher son visage. Les mains au niveau de la tête et un pied directement au visage. Un contorsionniste ou pause de Yoga?
L'image quelque peu floue et abstraite par endroit est le résultat du mouvement de Mathis. Mais on peut le voir clairement la main droite au niveau de l'oeil, comme pour se frotter, et l'autre bras derrière la nuque.